L'avantage indéniable du prélèvement SEPA pour la gestion des cotisations annuelles de l'UNPRG 33 réside dans cette simplicité même qui accompagne notre quotidien.
Régler sa cotisation n’a jamais été aussi aisé ! Imaginez un peu : finies les corvées répétitives d’écriture de chèques, l’envoi postal ou encore la crainte d’oublier la date fatidique de renouvellement. Tout se fait avec une fluidité déconcertante grâce au SEPA. C’est un peu comme offrir à notre esprit un repos bien mérité; on enregistre une fois pour toutes nos coordonnées bancaires et hop, comme par magie, chaque année, notre cotisation est prélevée sans que nous n’ayons à lever le petit doigt. De plus, cette méthode sécurisée renforce la confiance entre l'adhérent et l'UNPRG 33.
Pas de surprises désagréables, le montant est connu et prévisible, et votre esprit reste tranquille. Adhérer au prélèvement SEPA, c’est aussi valoriser notre association en lui assurant une trésorerie stable et prévisible, essentielle pour la planification annuelle de ses activités. C’est choisir la modernité, l’efficacité et, soyons honnêtes, une certaine paix d’esprit.
La mise en place de prélèvements automatiques, c'est un peu comme le pilote automatique pour vos finances d'association : ça roule tout seul et ça vous décharge d'une bonne part de la paperasse. Fini le temps où il fallait courir après les paiements ! Maintenant, une fois que vous avez l'accord du membre, hop, son règlement atterrit dans vos caisses sans que vous bougiez le petit doigt. Mais attention, ne prenez pas ça à la légère ! C'est votre asso qui tient le volant : assurez-vous que l'autorisation de prélèvement est en béton et qu'elle n'ira pas se perdre dans les méandres de vos archives.
Et puis, entrer dans la danse du prélèvement auto, c'est un peu comme obtenir les clés du compte en banque de votre membre, en toute légitimité bien sûr. Ce membre, on l'appelle le "débiteur", et vous, l'association, vous endossez fièrement le rôle du "créancier". Une histoire de confiance mutuelle, quoi.
Histoire de ne pas rester dans le passé, sachez que depuis 1988, le système de prélèvement a fait peau neuve. En 2014, le bal a continué mais sur un nouveau rythme : celui de la norme Sepa. La petite révolution, au 1er août de cette année-là , c'est que pour piloter ce vaisseau financier, il vous faut maintenant un Identifiant créancier Sepa , une sorte de matricule ultra secret qui vous permet d'être reconnu dans l'espace bancaire européen comme un créancier sérieux et fiable. Vous n'avez pas encore ce sésame ? Aucun souci, votre banque s'occupe des formalités avec la Banque de France.
Tout ça pour dire, une fois que vous êtes équipés de votre numéro magique, lancer des prélèvements automatiques, c'est comme faire cuire des pâtes : simple, efficace et ça fait toujours plaisir à la fin du mois. Bref, pratique et moderne, que demander de plus ?
PHILIPPE RECLUS
Sans nécessairement l'imposer, pourquoi ne pas exploiter le SEPA ?